Auteur : Amie Kaufman & Jay Kristoff

 J'ai enfin lu le troisième tome de cette trilogie commencée il y a maintenant plus de trois ans (et reprise en fin d'année 2020), un chapitre se clôt et je n'ai absolument aucun regret !

On continue de suivre les aventures de nos héros du premier et du second tome, mais on en découvre aussi de nouveaux. Le schéma reste le même que dans les deux premiers, on découvre un nouveau couple, un nouvel endroit, mais surtout on est enfin sur Kerenza, là où tout a commencé.

Je ne vais pas vous mentir, au début, je me suis dit que j'allais être lassée, je veux dire c'est quand même le troisième livre qui décrit exactement le même schéma, les héros sont toujours du même genre, on a toujours un couple, toujours des batailles, mais finalement, plus j'avançais dans ma lecture, et plus j'en voulais encore, j'ai adoré découvrir l'histoire de ce tome. Et surtout, d'enfin découvrir la fin de notre histoire !

On découvre dans ce tome, qui a rédigé les dossiers Illuminae, qui se cachent derrière BeiTech, on se retrouve à suivre une de leurs équipes donc on voit en quelque sorte les coulisses, on suit aussi encore une fois toutes les bêtises de notre intelligence artificielle préférée, AIDEN, et bien évidemment, on retrouve toujours le même format qui, je pense, nous a tous attiré immédiatement au début et nous a fait commencer cette aventure.

J'ai mis cinq petits jours à lire ce tome de plus de 600 pages, mais durant ces deux derniers jours, je ne voulais plus m'arrêter de lire, je n'avais d'ailleurs pas prévu de le terminer ce matin mais je devais savoir ce qui allait se passer, je voulais savoir comment tout allait se terminer.

Je dois malgré tout bien avouer quelque chose... J'aurais aimé avoir plus de détails à la fin, que ce soit au niveau de la bataille ou du procès, j'ai l'impression que ça a été un petit peu bâclé...

 Mais je ne regrette clairement pas mon aventure, ce format est si original, je compte d'ailleurs lire l'autre série des auteurs, Aurora Squad. Ah mais tient, j'ai une question... Pourquoi "obsidio" ?