Ma raison de vivre, tome 2 : Ma raison d'espérer

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Auteur : Rebecca Donovan
Broché : 598 pages
Editeur : Pocket Jeunesse
Sortie France : 15 octobre 2015
Prix : 18.90 €



"Emma réapprend doucement à vivre aux côtés d'Evan et de Sara. Hantée par des cauchemars terribles, elle décide de donner une seconde chance à sa mère, qui l'a abandonnée, espérant ainsi trouver un sens à sa souffrance. Mais elle doit aussi affronter le regard des autres : ceux qui s'en veulent de ne pas l'avoir soutenue, ceux qui la jugent et ceux qui, surgissant de son passé, ont encore bien des révélations à faire sur sa vie d'avant..."


 Quatre ans et demi après avoir reçu ce second tome en cadeau pour mon anniversaire, je me suis enfin lancée dedans après une relecture du premier tome. Et à vrai dire, on n'est plus vraiment dans le même contexte que le premier.

On retrouve Emma six mois après la fin tragique du premier tome, et on va la suivre dans sa reconstruction, elle va apprendre à connaître sa mère mais évidemment, tout ne va pas se dérouler comme prévu, et vu l'état de sa mère dans le premier tome, on pouvait bien s'en douter.

Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas vraiment ce que j'ai pensé de ce tome. J'ai trouvé ça sympa de voir sa relation avec sa mère, mère absolument horrible d'ailleurs, mais peut-être que c'était un petit peu trop poussé. Tout s'acharne sur notre héroïne, c'est peut-être pas assez réel, je ne sais pas. Puis surtout, Emma ne fait rien, elle reste, elle reste, elle encaisse, j'avais juste envie de la secouer tout du long. Et en parlant de secouer, on en parle d'Evan ? Oh la la, qu'est-ce qu'il m'a énervé... Sa copine se faisait battre par sa tante dans le tome précédent, elle a failli mourir MAIS tout ce qui le préoccupe c'est sa nouvelle amie ? Mais non, s'il te plaît, fais un effort. Et puis le Jonathan tient, parlons-en...

Franchement au début, je l'aimais bien, il n'y avait même pas d'histoire de triangle amoureux ou quoique ce soit, puis arrivé au dernier quart du livre, mais du n'importe quoi. Qu'est-ce que je l'ai détesté celui-là aussi... Je peux comprendre Emma, elle a l'impression que c'est la première fois qu'elle peut se confier à quelqu'un qui peut réellement la comprendre, elle ne voyait rien de mal, elle aime Evan et c'est tout, mais ce Jonathan, mon Dieu... En fait, j'ai l'impression que l'auteure a créé des personnages qui, soit la haïssent, soit l'aiment de tout leur coeur, il n'y a pas de juste milieu.

 Bon, cette chronique est un peu brouillon, j'ai lu un autre livre entre temps, du coup mes ressentis ne sont plus aussi frais, mais finalement, c'est tout ce que j'ai pensé durant ma lecture. Je n'ai pas le troisième tome et je sais pas si je le lirais puisque d'après les avis, ce n'est peut-être pas une bonne idée... Mais qui c'est, tant dans un mois je reviens pour faire une critique sur ce dernier tome.

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