Partials, tome 1 : Partials
Editeur : Albin Michel
Collection : Wiz
Sortie France : 2 octobre 2013
Prix : 19 €
Prix : 19 €
Quatrième de couverture :
Un virus. La guerre contre les Partials – ces êtres mi-humains,
mi-robots – a décimé la population. Seuls quelques milliers retranchés à
Long Island ont survécu. Et le virus mystérieux – le RM – les tue petit
à petit. Chaque nouveau-né vit moins d’une journée si ce n’est quelques
minutes. La race humaine s’éteint inexorablement et aucun médecin n’a
de remède. Un espoir. Dans cette atmosphère désespérée, Kira, jeune
interne en médecine, a une nouvelle hypothèse. Pourquoi les Partials
sont-ils naturellement immunisés contre le RM ? Et si la solution venait
de l’ennemi juré lui-même ? Une héroïne. Kira se lance alors dans une
expédition au risque de devenir une hors-la-loi. Infiltrer les Partials,
en capturer un et le ramener à long Island pour l’étudier et peut-être,
trouver un antidote. Mais le pari est risqué : soit elle réussit et
sauve l’humanité, soit elle échoue et sera considérée comme une
terroriste par son propre gouvernement. À moins que ce soient les
Partials eux-mêmes qui ne la tuent…
Mon Avis :
Je n'ai pas besoin de raconter l'histoire puisque le résumé le fait déjà suffisamment.
Si on m'avait dit que je mettrais 4 étoiles à ce roman au moment où je l'ai commencé, je n'y aurais absolument pas cru. Je lui aurais probablement mis 2-3 étoiles. J'ai trouvé le début super long, beaucoup trop de descriptions et de textes ne servant à rien, jusqu'à ce que j'arrive vers les 250 pages, au moment où Samm débarque. Enfin de l'action ! Et depuis ce moment-là, je suis complètement accro.
J'avais énormément de mal à m'attacher aux personnages, tout était flou, et maintenant je me surprend moi-même à bien les aimer, et évidemment à adorer Samm, et à me languir de dévorer les deux derniers tomes.
Je ne suis pas fan de l'écriture de Dan Wells, mais l'histoire me plaît énormément. Si vous avez les mêmes impressions que moi au début, je vous conseille fortement de ne pas abandonner, il en vaut vraiment le coup.
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